Pour cette première ballade de lannée, 2 endroits de rendez-vous sont possibles
-soit au local « la Gelbressée »
-soit au carrefour de la rue Trieu-Martin et la rue Ernest Moëns
Au départ du local la Gelbressée, nous tournons à gauche rue Ernest Moëns, direction Marchovelette.
(Nous pouvons rejoindre notre 2e point de rendez-vous, sans trop defforts, en tournant à la 2e rue à gauche, rue du Moulin Somal, puis 2e à droite, rue Trieu Martin).
Après avoir rejoint nos partenaires du 2e groupe, à lissue de la rue Moëns, nous poursuivons Chemin des Blés, direction Marchovelette. Arrivé dans ce village, après avoir franchi le 1er dos dâne de Fernelmont, nous tournons à droite rue de Franc-Warêt (direction Franc-Warêt)
Nous poursuivons notre chemin pendant 1,5 km en
laissant -sur notre droite la SCAM (dénommée anciennement société agricole de Marchovelette) puis -sur notre gauche la ferme de Murchi
(Murchy était un hameau de Franc-Warêt, composé de 10
maisons et dune ferme dont on trouve trace dès
1605. Seul reste la ferme avec une toiture dardoise
rouge qui a été restaurée et est occupée par Pierre
Mailleux fils de Louis qui lui occupe la ferme du Tilleul
à Gelbressée.) -ensuite encore sur notre gauche la ferme dAutri (occupée jusquil y a peu par Monsanto) |
Arrivé au lieu dit de la chapelle St Antoine, au km 3.5, nous poursuivons tout droit direction «maison communale » |
350 m plus loin sur notre droite, nous apercevons le château de
Franc-Warêt ainsi que ses jardins
150 m plus loin, rue loin, nous poursuivons tout droit
à ce carrefour, nous apercevons léglise du village
dédiée à Saint Remi.
250 m plus loin, face à une chapelle, au km 4.3, nous tournons à gauche et empruntons une voie à grande circulation rue du Sart Helman.
(Nous nempruntons évidement pas la bretelle dautoroute vers Liège)
Au km 4.8, nous virons vers la droite rue des Combattants (direction Noville-les-Bois)
Après avoir traversé lautoroute de Wallonie E42, nous
apercevons sur notre gauche une chapelle dédiée à Notre-Dame
de Banneux et la ferme du sart-Helman occupée par André
Mailleux (un frère de Louis) ainsi quen arrière fond le
zoning industriel de Fernelmont.
Après être passé devant les établissements Buffet , au km 6.2, à hauteur de la ferme de la Tour Godin (ferme Delmelle), nous poursuivons tout droit
900 m plus loin sur notre droite, nous apercevons au fond
dune allée le château de Fernelmont (qui a donné
son nom à la commune que nous traversons)
Fernelmont est lié au nom dun arbre : le
frêne. Le château tirait sa fortune de la production
forestière.
Au départ, une tour donjon de 2 étages de 8m de côté
est construite fin du XIIIe siècle pour défendre biens
et hommes.
En 1621, est construite une cours intérieure entourée
dun beau quadrilatère compact.
Lensemble est au centre dun étang (alimenté
par le petit Houyoux) et devancé par une basse cour du
XVIIe siècle. |
Nous poursuivons toujours droit et, à lentrée du village de Noville-les-Bois, nous franchissons le 1er ralentisseur.
Au km 7.8, à un carrefour en T, la rue principale (rue des Combattants) vire vers la droite.
100 m plus loin, tout en restant sur cette rue des Combattants, nous obliquons légèrement sur la gauche (à hauteur de la rue des Etanches)
150 m plus loin, (à hauteur des rues Goffin
et rue des Cultivateurs) toujours tout droit (rue des
Combattants)
120 m plus loin (à hauteur de la rue de la franche taverne avec léglise dans le fond) toujours tout droit (rue des Combattants) 100 m plus loin un nouveau dos dâne
Au km 8.4, à hauteur dune agence bancaire de la BBL, vous prenez légèrement à droite (rue Massart)
200 m plus loin, à hauteur dun carrefour en Y, nous prenons la branche de gauche direction Forville
Au carrefour suivant (km 9.4) à hauteur dun salon de toilettage pour chien « domaine St Roch », nous poursuivons en ligne droite
A cet endroit, nous apercevons la ferme de Harzée
300 m plus loin, (nous laissons sur notre gauche la ferme Bawgnet) et poursuivons tout droit (rue appelée maintenant «Avenue de la Libération »
Nous pénétrons dans le village de Forville.
1er petit carrefour, (près dune librairie) tout droit
70 m plus loin, au km 10.3, traversée
en ligne droite dun dangereux carrefour
(rue dEghezée)
Nous poursuivons donc tout droit rue de Branchon
200 m plus loin, à un mini rond-point, tout droit
800 m plus loin, à un 2ème mini rond-point
dessiné sur le sol, à gauche (toujours en restant sur la rue de
Branchon)
250 m plus loin, face aux écoles de Seron,
à droite (toujours en restant sur la rue de Branchon)
180 m plus loin, à un carrefour en Y, nous prenons la branche de gauche direction Branchon
420 m plus loin, après avoir longé le
ruisseau de Seron, 2ème carrefour en Y, nous prenons
également la branche de gauche (celle de larrêt de bus) (toujours
en restant sur la rue de Branchon)
Nous quittons le village de Forville et ses hameaux et traversons la campagne
Au km 13.3, nous pénétrons dans le village de Hemptinne et poursuivons tout droit (rue de la Soile)
Nous longeons successivement le terrain de
football suivi de léglise (dédiée à Saint-Georges) et
de lancien presbytère. (le presbytère actuel étant face
à léglise)
Hemptinne, dont lextrémité
Nord nest quà 2 kilomètres de la chaussée
romaine de Bavay à Tongres, était déjà habité à
lépoque gallo-romaine.
Un agriculteur découvrit une urne avec 1122 monnaies
appartenant à la fin du 4e siècle Hemptinne ,
village de hesbaye, souffrit entre 1635 et 1713 des
guerres franco espagnoles avec de nombreuses occupations
et pillages
La tour de léglise date de 1556. Léglise
que nous connaissons aujourdhui date de 1731
Une dalle funéraire de 1336 est scellée dans le mur de
léglise.
Le cimetière était flanqué aux 4 coins de tourelles
munies de meurtrières en cas dinvasions.
Le 27 mai 1976, la paroisse fêta son bicentenaire sous
la conduite de son curé : labbé Marchand |
|
Nous poursuivons notre chemin tout droit après avoir traversé le petit ruisseau de la Soile (soulhe)
(ne pas prendre la direction de Meefe)
Nous apercevons tout dabord sur notre droite la ferme
Dupont, la plus grosse dHemptinne, date du 17ème
occupait déjà à lépoque une centaine dhectare
avec plus de 20 ouvriers, sans compter les saisonniers.
Lensemble représente la grosse ferme typique hesbignogne
Ensuite sur notre gauche, la ferme du Sanglier (occupée
pendant 2 siècles par la famille Decoux)
Elle fut rachetée par lactuel secrétaire de S.M.la Reine
Fabiola, Benoit Cardon de Lichtbuer qui la restaurée
Des activités culturelles sy déroulent régulièrement
Au km 14.4, (à hauteur dune chapelle et de la N924 Wasseiges-Hanret), nous traversons en ligne droite ce carrefour direction Branchon sur la N984
Au km 17, nous pénétrons dans le village (par la rue qui sappelle maintenant rue dHemptinne)
Nous poursuivons, tout dabord tout droit en traversant le ruisseau «la Mehaigne »
350 m plus loin, après avoir monté une petite côte de 50 mètres et avoir rejoint léglise (et la ferme Rigo qui lui fait face), nous tournons à gauche sur la N 624 rue de la Hesbaye
Histoire |
Le mot Branchon, cité à partir du VIIIe
siècle pourrait avoir une origine celtique. On l'écrivait
déjà de cette manière en 1224.
La chaussée romaine dite de Brunehaut (de Bavay à Tongres)
passe à proximité du village. Les Romains n'auraient fait
qu'élargir une piste gauloise et même préhistorique, pour la
porter à 7,5 m de large. L'empierrement était fait de pierres
provenant de la vallée de la Meuse. Cette chaussée suit
approximativement la ligne de faîte entre les deux bassins
fluviaux belges lEscaut et la Meuse.
La paroisse
La paroisse de Branchon est dédiée à St-Jean. Lors de la fête
du Saint, le 24 juin, il y avait un pèlerinage fort suivi : on
invoquait le saint contre les maux de tête et les fidèles
posaient sur leur tête des cercles de cuivre déposés sur
l'autel de St-Jean et, après la messe, allaient baiser les
reliques. Un autre pèlerinage se faisait le 8 septembre : un
millier de pèlerins se rendaient en cortège à la petite grotte
dite de Notre-Dame de Lourdes, érigée par la famille Courtoy.
Sous l'impulsion de Henri Maximilien Van den Steen, l'église
datant du XVIe siècle, fut reconstruite en 1750 en style
néo-roman.
La ferme Rigo est l'une des fermes
les plus importantes de Branchon.
Une poutre située dans la grange, datant de 1679, permet de
déterminer l'année à laquelle la ferme fut construite.
La ferme appartint successivement aux de Bruges, propriétaires
de Branchon au XVIIIe siècle, puis à la famille de Giey, et fut
vendue avec 2 ha de prairies à Jean Rigo.
Située en face de l'église, la ferme se compose d'un corps de
logis, d'une écurie, de deux granges et de quatre étables
occupées en saison, par une centaine de vaches.
Le corps de logis et la grange furent certainement érigés
ensemble car ils sont tous deux construits en briques espagnoles.
Le reste fut donc bâti par la suite. L'écurie sert aujourd'hui
de garage à M. Rigo.
Le château Gréban A quelques mètres de l'église, se dresse le château Gréban, magnifique propriété à tendance moderne, s'étendant sur 2 ha. C'est Juste Gréban de St-Germain, grand-père de l'occupant actuel qui le fit construire. Les travaux de construction durèrent quatre ans et furent terminés en 1913. A l'époque, le château fut l'une des premières habitations de Branchon à être pourvue de chauffage central. Un groupe électrogène, installé dans une partie du bâtiment, alimenta pendant quelques années le château et quelques maisons avoisinantes, en électricité. Juste Gréban ne profita guère du confort de sa demeure puisqu'il mourut deux ans après sa construction en 1915. Son fils Félix hérita du domaine et dirigea l'exploitation agricole d'une superficie de ± 17 ha. Aujourd'hui, c'est le fils de Félix, Juste Gréban de St-Germain, agriculteur, qui est propriétaire du château et de ses dépendances. |
Poursuivons notre route.
300 m plus loin (tout en laissant le château de Branchon sur notre gauche), nous virons à droite rue Baty de Branchon |
450 m plus loin, au km 17.9, nous abordons un carrefour en T face à un banc public vert assez délabré et une statue dédiée à Notre-Dame de la Hal
Nous empruntons la branche du T de gauche
rue «Romaine» (chemin excepté circulation locale)
Nous poursuivons notre route en ligne
droite, sur ce chemin de remembrement, pendant 3,7
km (tout en laissant de côté les autres chemins à votre gauche
et votre droite ainsi que les villages de Boneffe et de Taviers).
Au km 21.5, nous traversons en ligne droite la N991 (Eghezée-Ramilies) et poursuivons sur le chemin de remembrement.
500 m plus loin, toujours tout droit
Au km 22.7, nous arrivons sur le RAVEL
2
Avant de prendre le Ravel vers la gauche direction
Eghezée, face à nous, un détour simpose vers la
tombe dHottomont.
Il sagit dun tumulus visible du carrefour où
nous nous trouvons.
Jadis, au XVIe siècle, toutes ces terres cultivées
couvraient une large forêt.
De ce vaste ensemble ne reste que ce tumulus où aurait
été enseveli un général romain nommé Othon.
Celui-ci aurait donné son nom au village
dHottomont. Latmosphère qui règne à cet
endroit est particulière.
Il faut passer dans les champs (de bettraves ou de
froment) pour arriver au pied de cette colline de 13
mètres de haut. |
Nous empruntons donc le Ravel vers la gauche
direction Eghezée Tout en poursuivant tout droit, au km 23.8, nous longeons la gare de Taviers.
(faisons attention à ce tronçon : à quelques
reprises, la piste croise de petits chemins et des routes
plus importantes.)
(directement après la gare de Taviers, nous traversons
la route de Hesbaye N624 Wasseiges - Noville-sur
Mehaigne) |
Après avoir retraversé la Mehaigne, nous apercevons
le village dEghezée. Tout en laissant le centre sportif
et culturel sur notre gauche, (où une collation est
possible à lEcrin), nous apercevons la gare (qui
héberge la bibliothèque municipale et lacadémie
de musique) |
Que dire dEghezée
Éghezée a toujours été un village
exclusivement agricole. On y dénombre en 1846 : 131
exploitations agricoles occupant 209 personnes; en 1895, 189 avec
168 personnes occupées; en 1950, 237 avec 67 personnes; et en
1959, 235 exploitations.
Autrefois : des épiceries; des brasseries; des cafés; une
fonderie; des ateliers de menuiserie, de cordonnerie et de
confection de vêtements; culture dominante de la betterave
sucrière; élevage du bétail et du cheval (ex. : "Le
Cheval Blanc" et "Le Fer à Cheval"); un marché
le mardi (supprimé en 1940); deux hôtels (un en face de la
gare, l'autre : "Le Cheval Blanc"); une imprimerie
(l'imprimerie Palate a fonctionné pendant plus d'un siècle et
appartient depuis 1981 à M. Pansaerts); un moulin à vent
construit en bois (une des meules du moulin a été retrouvée
par M. M. Van de Ryse, nettoyée et placée à l'entrée de la
Ferme du Moulin); une fontaine publique; des pompes à eau
publiques (une seule pompe subsiste encore rue du Four, tout
près de chez Thonus); un abattoir (l'abattoir communal qui se
situait autrefois à l'emplacement actuel de l'arsenal, a été
fermé pour des raisons d'hygiène et d'insalubrité); une
société coopérative (ACBI); une râperie et une gare.
100 m plus loin, au km 25.9, nous traversons la N91 (chaussée de Louvain) et rejoignons à lautre bout le Ravel
Au km 27.1, nous traversons la rue de la Bruyère en suivant lasphaltage rouge au sol
(Nous longeons ensuite cette rue de la Bruyère)
Après avoir laissé sur notre gauche la
râperie de Longchamps,
cette usine est lendroit où on traite le plus de bettraves
sucrières en Belgique,
Nous tournons à
gauche, rue Saint-Anne, direction Ravel 2 - Kewlox (à
gauche du home les Jours Heureux)
Au km 28.7, nous passons sur la gauche du silo à grains.
Au km 29.4, nous poursuivons tout droit sur le Ravel (revenu en site propre)
Au km 30, nous arrivons à la gare de Leuze
qui a été magnifiquement restaurée La gare participait au commerce prospère de la localité. Des fermiers de Hannut y venaient vendre leur beurre. Aujourd'hui, la gare est désaffectée et a été transformée en crèche communale et accueille plusieurs services liés à l'enfance. |
300 m plus loin , carrefour très dangereux
Nous traversons la N942 (pour laquelle les automobilistes nont aucune visibilité)
Nous poursuivons notre chemin sur ce Ravel durant 3 km
(en laissant successivement sur notre droite le village des Boscailles
et sur notre gauche le village de Warêt-la-Chaussée)
Au km 33.9, à la gare de Cognelée, nous quittons le « ravel » et tournons à gauche rue de la Gare de Cognelée. Nous rejoignons ainsi la Chaussée de Louvain que nous traversons en ligne droite pour aboutir sur la drève de Jette-fooltz. |
Au bout de cette drève, au km 35, face à la maison du traiteur Benoit Baugnet, nous tournons à droite rue de Wasseiges, passons sur le pont qui surplombe lautoroute de Wallonie.
Au bas de la descente, au km 35.8, nous tournons à gauche rue Basse Chaussée, direction Marchovelette. Nous rejoignons ainsi la commune de Fernelmont sur cette même rue qui sappelle maintenant rue de Cognelée.
Au km 38.2, nous arrivons au rond point de Marchovelette. Nous traversons celui-ci en ligne droite, en descendant la rue «le grand chemin Communal ».
Au km 38.7, en
bas de cette descente, nous remontons vers la droite,
chemin des blés direction Gelbressée. Nous poursuivons sur
cette même route (devant ensuite rue Ernest Moëns) pour
rejoindre le local «la Gelbressée » notre point de
départ au km 40.5
Bonne ballade à
tous
Pol
Jassogne
0476/82.95.07
pol.jassogne@skynet.be