Le
jeudi 29 mai, jour de l'ascension, nous vous invitons à
découvrir un cadre habituellement inaccessible…C’est vraiment au petit trot que la rénovation du local se poursuit et nous espérons tout de même qu’elle se terminera bien avant l’automne…
Ceci n’empêchera pas notre fête annuelle (samedi 28 juin) de se dérouler au village et d’ores et déjà, nous espérons que vous pourrez y participer nombreux : ce sera aussi l’occasion, si vous le souhaitez et si ce n’est déjà fait, de vous faire membre de l’asbl « Animation gelbressoise ».
Merci déjà et bonne lecture à toutes et tous.
Le catalyseur
Après les 26 matches de championnat, l’U.S.G. se retrouve désormais barragiste et affrontera donc Surice et Sinsin pour sauver sa peau en 3ième Division Provinciale.
Comment en est-on arrivé là ?
Après une campagne de transferts intéressante et une coupe de province très prometteuse - les Gelbressois trébucheront seulement en 1/16 de finale devant le Condrusien -, l'U.S.G. commence son championnat sur un mode mineur par un maigre 3 sur 12.
Pire même, au terme de la 7ème journée, les Nutons comptent seulement 6 points sur 21. La qualité du jeu développé n'est pas trop en cause mais le réalisme tant offensif que défensif fait défaut. Dès lors, l’entraîneur Roger Vaillant va re-cadrer le système de jeu et adopter un tactique plus attentiste, mieux en rapport avec les potentialités du groupe. Ainsi, les Nutons peinent à faire le jeu et à battre les sans-grade (remember Nannine, Hemptine 2 X, Assesse et Groynne) tandis que contre les plus forts, le jeu est plus libéré et plus percutant.
Le déclic se fit lors du match contre Gesves, alors fier leader avec Malonne avec 21 pts sur 21. Malgré un retard de 2 buts, les ouailles de Marcel Pirlot émergèrent par 3 à 2. La mécanique était lancée et l'U.S.G. demeura invaincue pendant douze rencontres avec quelques belles prestations comme contre Temploux, Lustin ou à Rhisnes et à Malonne.
A six matches du terme du championnat, les Nutons se retrouvent quatrième - malgré un nombre impressionnant de nuls - , avec en mire la montée en P2. Le calendrier propose à ce moment 3 déplacements chez autant de concurrents directs, Temploux, Lustin et Faulx. Le bilan chiffré de ces matches away sera désastreux, les Nutons ne récoltant aucun point. Plus inquiétant, l'U.S.G. est coupable d'indigence offensive, avec aucun but et peu d'occasions créées.
A ce moment, Gelbressée est premier relégable mais deux matches dits "faciles" (à Assesse et contre Hemptinne) devraient lui permettre de recoller aux équipes qui la précédent. Patatras, les rencontres se soldent par autant de nuls et le niveau de jeu est franchement déplorable.
Les Nutons se situent alors à respectivement 3 et 4 unités de Gesves et Sclayn (qui ont plus de victoires, ce qui fait virtuellement 4 et 5 points). On voit mal comment ils pourraient éviter la descente. Après le forfait du CAPS, les Nutons se rendent lors de l'ultime journée (ce dimanche 27 avril) à Sauvenière, qui doit vaincre pour monter de P2. De son coté, l'U.S.G. doit gagner et espérer une défaite conjuguée de Sclayn face à Rhisnes…
Sublimés par l'enjeu, les Gelbressois y ont peut-être livré leur meilleur rencontre de la saison, alors que peu d'observateurs auraient misé un kopeck sur eux quinze jours auparavant. Les Nutons reviennent de l'enfer, qu'on se le dise !
Néanmoins, compte tenu du potentiel joueurs, cette équipe-là ne devrait jamais lutter pour sauver sa place. Le parcours chaotique de l'U.S.G. peut en effet faire nourrir bien des regrets au staff, comité et partisans.
Gageons que, grâce au soutien des supporters - que l'on espère nombreux - l'Union Sportive pourra émerger lors des matches de barrages et renouveler son bail en P3 :
Jean-Christophe Mailleux
Liz Teria a été créé début 2001 par deux anciens membres du groupe rock Manta Ray (vainqueur du Verdur Rock 1995), Steven Delcroix et Geoffroy Le Clercq, deux gelbressois pure souche. Leur objectif était de concevoir une musique pop assez minimaliste, alliant à la fois intériorité et énergie.
Rapidement, des maquettes sont produites par le duo. Le courant passe bien, les aspirations des deux musiciens sont convergentes, les résultats intéressants. Au bout de quelques mois de travail, le temps est venu pour eux de constituer un véritable groupe, capable d'interpréter sur scène les nouvelles compositions.
Après quelques essais infructueux, la chance est enfin au rendez-vous : Steven et Hugo se rencontrent par hasard sur le tournage du "Vélo de Ghislain Lambert ", alors qu'ils font tous les deux de la figuration. Hugo, batteur émérite au sein du "No Matter Project" mais également bassiste, rejoint bientôt le groupe, qu'il gratifie - à la basse - de son sens du groove irréprochable.
Deux de ses amis, Benjamin Struicken ("No Matter Project " également) à la guitare et Valentin Grégoire au clavier, rejoindront pendant quelques mois l'aventure, jusqu'au début de cette année. Valentin aura amené ses influences électro, toujours palpables au sein du set actuel; quant au départ de Benjamin, s'il ampute le groupe de belles influences jazz, il coïncide sans doute avec le retour d'un son plus abrasif, finalement plus rock.
Marie Lambert, pianiste classique, vient rejoindre le groupe au clavier, début février. Sa présence apporte finesse et précision du geste, musicalité et… féminité.
Sa contribution confère la touche décisive à un paysage sonore riche d'influences et de styles, conjuguant pop, rock, touches latino mâtinées d'un soupçon d'électronique. De l'énergie, de la retenue, du soleil, de la pénombre, c'est un peu tout cela Liz Teria.
Mais en fin de compte, quid du nom ? Rien à voir avec la listériose. Une nuit de septembre, Geoffroy fait un rêve étrange. Derrière les platines, un psy le soumet à un blind-test : parmi les titres qu'il doit reconnaître figure un groupe de jazz répondant au nom de Liz Teria… Voilà l'histoire. Vous avez dit bizarre ?
Derniers concerts
Biographie de chacun des membres du groupe
Steven Delcroix
Geoffroy Le Clercq
Hugo Adam
Marie Lambert
Venez les (re)découvrir ce samedi 17 mai à 21h30 (et non 20h30 comme initialement annoncé) à la salle des Nutons de Gelbressée. Entrée gratuite…
Comme vous l'apprendrez par courrier officiel, les opérations de vote se dérouleront (entre 8h et 13h) au local "Spéléo", rue de Ferraire, au-dessus de l'église et ceci, vu l'indisponibilité de la salle "La Gelbressée"…
Au local «Spéléo», situé juste au-dessus de l’église.
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jeudi 29 mai, jour de l'ascension, nous vous invitons à
découvrir un cadre habituellement inaccessible…
Au départ de la ferme du Tilleul, nous vous convions à nous suivre dans la traversée du parc de Franc-Warêt (bois d'Hambraine) qui aboutit au château et à ses jardins. L'ancienne voie du tram nous conduira au domaine boisé du château de Fernelmont. Nous découvrirons ensemble le village de Sart d'Avril. Nous saluerons au passage le souvenir d'Ernest Montellier. Nous traverserons, ensuite, le bois communal du Tronquoi. Un dernier ruban de bitume et une partie du parcours Vita qui permettra à ceux qui ont encore de l'énergie de s'y dépenser.
Voir le plan du parcours.
Après ces 13 kilomètres de marche, nous vous accueillerons avec plaisir au local spéléo pour se régaler d'un morceau de tarte et d'un rafraîchissement. Nous vous rappelons que la participation est de 2 EUR, et gratuite pour les membres de l'asbl « Animation gelbressoise » et pour les moins de 15 ans.
Si l’endroit doit encore être confirmé compte-tenu de la vraisemblable indisponibilité de la salle « La Gelbressée », vous pouvez toutefois déjà réserver la date car la 6ième Fête de l’asbl aura bien lieu… le samedi 28 juin, avec au programme :
Une trentaine de personnes ont assisté à cette assemblée au cours de laquelle ont été évoqués divers points tels que :
A l'issue de cette A.G., une vingtaine de personnes ont participé au souper dans une ambiance vraiment très sympathique et agréable .
Le bilan de tout cela est qu'il existe incontestablement une volonté au village de poursuivre des activités associatives pour lesquelles l'imagination des uns et des autres est d'ailleurs toujours bienvenue !
Un joli soleil, presqu’un avant goût de l'été, brillait pour la première randonnée proposée cette année par l'asbl « Animation gelbressoise ». 25 personnes se sont retrouvées près du banc public à hauteur de la ferme du Tilleul. Le temps de rassembler ceux (+/-10) qui attendaient... près de l'église et nous voilà partis.
Récit de la randonnée à pied... Voir commentaires et photos
Année 55-56 Septembre
A gauche de la ferme de l'Empereur se trouvait un bois du comte de Grunne de Wartet
Le long de la route du parc, il y avait à droite trois maisons dont l'une avec grange. En face de la maison actuellement occupée par Madame Mirguet, se trouvait la maison (avec grange) occupée par François Maillien; les deux autres appartenaient à François Lambert et Nicolas Heureux.
A gauche de la route du parc, près du bois, on voyait deux maisons, celle d'Hubert Golimon et l'autre du marquis de Croix. L'école des filles, la maison communale, l'école des garçons n'existaient pas. L'école était dans le cimetière. A l'emplacement de l'école des garçons, il y avait une petite maison occupée par Jean Fontaine. Là où se trouve le jardin du presbytère actuel, il y avait une maison occupée par Charles Collet. Les maisons de Joseph Mathy étaient habitées par Etienne Valence et Henri Heureux. La maison de Lepine Gaston abritait la famille de Joseph Misson. En face de la maison de Mathieu, dans le pré de Reuviau Camille, existait une maison habitée par Joseph Séverin. La maison de Jules Barthélemy était habitée par François Piron. Les héritiers Somal étaient les propriétaires de la maison d'Ernest Plompteux. Il y avait une maison près de la ligne du tram (qui n'existait pas alors). Son jardin venait jusqu'au ruisseau. Cette habitation s'élevait à 400 m en ligne directe du derrière de la maison d'Ernest Plompteux, elle était occupée par Marie-Françoise Delbascourt.
La voie de l'Abbesse (200 m avant les six tilleuls) allait à la ferme de l'abbaye et formait une drève. La maison du bourgmestre actuel Joseph Gérard appartenait autrefois à la famille d'Arenberg de Marche-les-Dames. Elle fut également la propriété de Jean-Joseph Jaumenne. On l'appelait jadis (époque de Napoléon) la maison du Bourg.
Le premier ministre reçoit au " 16 " un grand banquier.
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Qu'est-ce qu'un cocu ?
Un entier dont la moitié est couverte par un tiers.
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Un candidat se présente pour un emploi dans une grande société. Le chef du personnel lui dit :
Et l'autre s'écrie :
(article « Le Soir » du 28/04/03, signé Guy BOONEN)
Déjà vainqueur en 1996 et en 2001, Sébastien le Grelle a accroché pour la 3è fois le Grand Trophy de Mettet à son palmarès. et ce, à l’occasion de la 63è édition de la plus représentative de nos épreuves en circuit.
Ce succès, construit avec méthode et application, était à vrai dire attendu de tous, du moins par la plupart de ceux qui lui reconnaissent un talent indéniable. Confronté comme tous ses adversaires à une piste tantôt humide, tantôt sèche, mais dont le « grip » s’avérait excellent, le Namurois était vraiment au-dessus du lot. En début d’après-midi, il s’était fait la main, en prenant soigneusement ses repères, au cours d’une « 3 heures » disputée sur une « 600 » en compagnie de Serge Starckman, un pilote débutant qui fut son élève lors du stage « Stéphane Mertens ». Ensuite, il avait largement dominé l’imposante concurrence engagée dans la Yamaha Cup. C’était en réalité le prélude à une éclatante partition dans le Grand Trophy. Admirable d’aisance, gommant toute tentation d’improvisation malvenue, le Grelle s’était élancé dans le sillage de Demeulemeester. « Je lui ai ouvert la porte dans le premier virage afin de pouvoir observer ses trajectoires » confia le Namurois après l’arrivée. Un tour lui suffit pour le rassurer, puis allumer sa postcombustion pour prendre la tête et ne plus la quitter jusqu’à l’arrivée. « J’ai forcé durant trois boucles. Après quoi, j’ai adopté une cadence qui me permettait de conserver un bon rythme ». En fin de course, le Grelle relâcha la cadence, ce qui permit au tandem Demeulemeester-Aerts de se rapprocher. Mais qu’importe, à ce moment les jeux étaient faits depuis longtemps…
Par ailleurs, vous trouverez également plus d’informations à propos de Sébastien le Grelle sur la page qui lui est consacrée sur note site internet à l’adresse www.gelbressee.be/Sebastien.htm.
A l’égard de celui qui vous prend votre femme, il n’est de pire vengeance que de la lui laisser. (Sacha Guitry)
Tous les matins, j’apporte à ma femme le café au lit. Elle n’a plus qu’à le moudre. (Coluche)
La réussite, pour un homme, c’est d’être parvenu à gagner plus d’argent que sa femme n’a pu en dépenser. (Sacha Guitry)
La bigamie, c’est quand on a deux femmes; et la monotonie, c’est quand on n’en a qu’une ! (Coluche)
De tous ceux qui n’ont rien à dire, les plus agréables sont ceux qui se taisent. (Coluche)
Si il y avait un impôt sur la connerie, l’état s’autofinancerait. (Jean Yanne)
Les femmes ressemblent aux girouettes, elles se fixent quand elles rouillent. (Voltaire)
Les jambes permettent aux hommes de marcher et aux femmes de faire leur chemin. (Alphonse Allais)
Celui qui cherche une femme belle, bonne et intelligente, n’en cherche pas une mais trois. (Oscar Wilde)
